Friday, November 11, 2005

La conspiration des poudres de 1605

Sans doute, cet acte de la trahison contre la monarchie de James I est le plus audacieuse et bien connue dans l’histoire de l’Angleterre.
De nos jours, on la commémore encore. Cependant, pourquoi faire ? Surtout quand c’était un échec !
Pendant les années quinze et seize cents, il y avait les temps instables en ce qui concerne la religion.
En 1605, le roi, James I était protestant mais il y avait toujours ceux qui voulaient que le pays devienne encore catholique. Ainsi, un groupe de conspirateurs catholiques (il y en avait treize) ont tenté de faire sauter le parlement pour se débarrasser du roi et son gouvernement protestant.
Un de ces conspirateurs, un homme qui s’appelait Guy Fawkes, était découvert et puis torturé pour qu’il dise les noms des autres conspirateurs avant d’être exécuté. La peine pour la trahison était drôlement terrible – d’être pendu, éviscéré et écartelé !
Malheureusement pour les autres, ils étaient trouvés aussi et par les suites exécutés. (Sauf un qui est mort en prison à cause d’une maladie)
La tradition aujourd‘hui est qu’on brûle des effigies du Guy dans des grands feux et on tire des feux d’artifice. Cela a lieu chaque 5 novembre pour qu’on n’oublie pas que la trahison ne peut pas être supportée et ce sera puni sévèrement !
En réalité, je crois que la plupart de gens ne réfléchissent pas beaucoup du vrai homme, Guy Fawkes ou même s’il avait raison de faire ce qu’il avait fait. En outre, je ne suis pas sûre qu’il fût un mauvais homme qui mérite d’être brûlé tous les ans dans un grand feu. Après tout, s’il a réussi et l’Angleterre est devenu encore catholique, il aurait été héro n’est ce pas ? L’histoire peut être vraiment injuste !

De plus – saviez-vous … ?

1. Jusqu’ à 1959, en Angleterre, c’était illégal de ne pas célébrer la date de l’arrêt de Guy Fawkes…

2. Aussi tard que 1998, la peine de mort a existé encore en temps de paix pour le crime d’une trahison en Angleterre et le Pays de Galles…

Nous sommes fous, nous anglais, n’est ce pas ?

November 2005
Helen French 5

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